Martine, c'est une fillette de 10 ans, qui porte sa robe rouge bien repassée, sa queue de cheval joliment mise et des traits plutôt naïfs. Depuis si longtemps, cette créature fouille consciencieusement les étagères des bibliothèques, s'installe au premier rang des salles de classe et visite régulièrement les rayons « tradition » des librairies jeunesse.
Mais voilà…
Martine ne vivait que des histoires bien trop banales.
Martine n’est plus cette petite fille.
Martine a un peu grandi.
Martine est devenue un peu dépressive.
Ses nuits sont des cauchemars.
Ses nuits sont enfin de vraies histoires lyriques et surréalistes.
Peuplées de loups, d’oiseaux, d’arbres, de forêts sombres et profondes.
Kill Martine, c'est une
réponse, sonore et visuelle, à cette leçon de bonne morale.
Kill Martine, c'est un conte
musical autour d'un cauchemar de Martine, cette jeune fille
abandonnée un soir par ses parents égoïstes.
C’est une longue satire contée et performée.
C’est une voix, du son, de la lumière, des costumes, un décor.
C’est une expérience forte, lente, rapide, lancinante.
Ou la renaissance d’une faillite.
Ça parle d'enfants mais ce n'est pas pour les enfants.
Kill Martine, c'est:
Gerotine à la voix
Sebartine à la guitare
Arthine aux machines
Patine à la batterie
2021
Kill Martine, c'est un
cauchemar qui peut se mettre dans les oreilles, avec ce concert au Labokube (Bruxelles, Belgique) le 22 septembre 2019 (en versions audio et vidéo):
Kill Martine, ce sont des
concerts commis ces derniers mois:
le 15 septembre 2017, au squat L'eskiv, dans la bucolique
commune d'Uccle;